Nitto Atp Finals
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Lucien de Samosate
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fed4ever
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Re: Nitto Atp Finals
Pourquoi nadoule est ridicule au WTF, parce qu'il est difficile de lui filer 2 ou 3 super tokars pour se chauffer 
Sinon Djoko finit premier s'il gagne tous ses matchs, meme si Nadoule gagne tous ses matchs jusqu'en finale
Sinon Djoko finit premier s'il gagne tous ses matchs, meme si Nadoule gagne tous ses matchs jusqu'en finale
Nadoule 
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Albator31
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Re: Nitto Atp Finals
Incroyable Nadal qui donne du bonheur à ses fans face au n1 mondial sur dur rapide malgré:
une surface et des balles taillées contre lui,
l'usure de fin de saison,
sa blessure aux abdos,
la gueule de bois d'après mariage.
La démotivation par le manque d'adversité
La faible valeur du tournoi le plus petit du monde.
N'en jetez plus, c'est surhumain.
Ajouté 1 minute 19 secondes après :
une surface et des balles taillées contre lui,
l'usure de fin de saison,
sa blessure aux abdos,
la gueule de bois d'après mariage.
La démotivation par le manque d'adversité
La faible valeur du tournoi le plus petit du monde.
N'en jetez plus, c'est surhumain.
Ajouté 1 minute 19 secondes après :
Oui mais si Nadal gagne tous ses matchs c'est l'inverse, ce qui est tout de même bien plus probable.
Djokovic dégage !
Poutine dégage !
Poutine dégage !
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lluis
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Re: Nitto Atp Finals
Raison 1 le dur indoor
Raison 2 le dur indoor
Raison 3 le dur indoor
Sinon ils s'annoncent bien ces WTF que des matchs en deux sets
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dantaface
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Re: Nitto Atp Finals
le maitre se rapproche du titre avec cette defaite
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
Suntem alături de tine, Simona
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fed4ever
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Re: Nitto Atp Finals
Apres la coach/femme de Kukushkin a Wimbledon 2014, c'est au tour des parents de Medvedev de se voir refuser le visa UK
https://www.tennisworldusa.org/tennis/n ... tp-finals/
Kuku avait joue nadoule en 2014, Medvedev le jouera apres demain, tous les moyens sont permis pour destabiliser l'adversaire
https://www.tennisworldusa.org/tennis/n ... tp-finals/
Kuku avait joue nadoule en 2014, Medvedev le jouera apres demain, tous les moyens sont permis pour destabiliser l'adversaire
Nadoule
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aribey
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Re: Nitto Atp Finals
Annoncé blessé, l'Espagnol a bravement, vainement, résisté à un excellent Alexander Zverev (6-2 6-4).
Nadal a souffert face à Zverev.© Keystone Nadal a souffert face à Zverev.
Il paraît clair que ses douleurs abdominales l'ont privé d'une préparation convenable, et que sa venue au Masters est davantage un acte de présence, éventuellement de bravoure, qu'un geste fort en direction de la première place mondiale. A défaut de cette force-là, Rafael Nadal a puisé dans son amour-propre celle de s'opposer courageusement au retour d'Alexander Zverev, détenteur du titre mais dépossédé depuis d'une certaine insouciance, revenu cet automne à de meilleurs sentiments, «la patience, le calme, la concentration».
Telle est du moins l'impression laissée par son service durant la totalité du premier set, une impression assez bouleversante de facilité et de coordination parfaite, comme si le bras n'était que le prolongement naturel de l'intuition. Comme s'il était guidé par une volonté obscure Il y a longtemps que Zverev n'avait pas servi aussi bien, aussi magistralement, et ses convictions n'en furent que renforcées, à peine ébranlées par les coups de boutoir rageurs de Nadal.
Que pouvait l'Espagnol face à ce déchaînement sublime, sinon ployer de tout son être? Breaké à 2-2 au terme d'un jeu épouvantable, émaillé de quatre fautes directes, le Majorquin a récidivé à 5-2 dans une même succession de courses vaines et harassantes. Pris de vitesse au fond du court, il n'a pas trouvé dans son service un point auquel s'accrocher, pour ralentir sa chute. Le deuxième set l'a récompensé de ses efforts inlassables, l'honneur est sauf, mais les chances de qualifications sont compromises.
Christian Despont, Londres
Ajouté 3 minutes 40 secondes après :
Battu d’entrée au Masters, comme l’an dernier, le Bâlois a semblé s’en vouloir. En ne l’avouant qu’à demi-mots.
Le Rhénan n'a pas vraiment apprécié sa première sortie sur le court de l'O2 Arena. n'a pas vraiment apprécié sa première sortie sur le court de l'O2 Arena.
Les défaites ne lui ont jamais donné envie de traîner sous la douche, encore moins sous la critique. Douze minutes après avoir serré la main de Dominic Thiem, vainqueur 7-5 7-5, Roger Federer s’est attablé face à la presse, peu enclin à engager la conversation, mais prêt à consentir un intérêt poli. «Je trouve que Dominic a très bien joué, honnêtement, a-t-il insisté. J’espérais qu’il aurait plus de peine. J’ai mal commencé, ça n’a évidemment pas aidé. Je suis parti du mauvais pied. Il y a eu ce 0-40, ce break concédé d’entrée. Mais j’aurais pu revenir, j’ai eu mes petites occasions. Je n’ai jamais senti que j’étais hors du coup. Dans ces moments où j’ai eu ma chance, Dominic s’en est sorti tout seul, en restant très solide.»
Roger Federer affrontera le néophyte Matteo Berrettini, mardi, dans son deuxième match de poule. Puis viendra Novak Djokovic, jeudi. Pas encore de quoi lui inspirer une tirade. «La suite? C’est très simple: je n’ai plus le droit de perdre. Une défaite et je rentre à la maison. Mais c’est comme ça chaque semaine depuis vingt ans, on ne peut pas dire que je vais découvrir une situation nouvelle…»
Matteo Berretini? «Il n’y avait rien de pire pour lui que de commencer un Masters contre Djokovic (6-2 6-1). Mais avec un tel service, il reste forcément dangereux», a abrégé le Bâlois, avant de jeter un coup d’œil à la porte.
Nadal a souffert face à Zverev.© Keystone Nadal a souffert face à Zverev.
Il paraît clair que ses douleurs abdominales l'ont privé d'une préparation convenable, et que sa venue au Masters est davantage un acte de présence, éventuellement de bravoure, qu'un geste fort en direction de la première place mondiale. A défaut de cette force-là, Rafael Nadal a puisé dans son amour-propre celle de s'opposer courageusement au retour d'Alexander Zverev, détenteur du titre mais dépossédé depuis d'une certaine insouciance, revenu cet automne à de meilleurs sentiments, «la patience, le calme, la concentration».
Telle est du moins l'impression laissée par son service durant la totalité du premier set, une impression assez bouleversante de facilité et de coordination parfaite, comme si le bras n'était que le prolongement naturel de l'intuition. Comme s'il était guidé par une volonté obscure Il y a longtemps que Zverev n'avait pas servi aussi bien, aussi magistralement, et ses convictions n'en furent que renforcées, à peine ébranlées par les coups de boutoir rageurs de Nadal.
Que pouvait l'Espagnol face à ce déchaînement sublime, sinon ployer de tout son être? Breaké à 2-2 au terme d'un jeu épouvantable, émaillé de quatre fautes directes, le Majorquin a récidivé à 5-2 dans une même succession de courses vaines et harassantes. Pris de vitesse au fond du court, il n'a pas trouvé dans son service un point auquel s'accrocher, pour ralentir sa chute. Le deuxième set l'a récompensé de ses efforts inlassables, l'honneur est sauf, mais les chances de qualifications sont compromises.
Christian Despont, Londres
Ajouté 3 minutes 40 secondes après :
Battu d’entrée au Masters, comme l’an dernier, le Bâlois a semblé s’en vouloir. En ne l’avouant qu’à demi-mots.
Le Rhénan n'a pas vraiment apprécié sa première sortie sur le court de l'O2 Arena. n'a pas vraiment apprécié sa première sortie sur le court de l'O2 Arena.
Les défaites ne lui ont jamais donné envie de traîner sous la douche, encore moins sous la critique. Douze minutes après avoir serré la main de Dominic Thiem, vainqueur 7-5 7-5, Roger Federer s’est attablé face à la presse, peu enclin à engager la conversation, mais prêt à consentir un intérêt poli. «Je trouve que Dominic a très bien joué, honnêtement, a-t-il insisté. J’espérais qu’il aurait plus de peine. J’ai mal commencé, ça n’a évidemment pas aidé. Je suis parti du mauvais pied. Il y a eu ce 0-40, ce break concédé d’entrée. Mais j’aurais pu revenir, j’ai eu mes petites occasions. Je n’ai jamais senti que j’étais hors du coup. Dans ces moments où j’ai eu ma chance, Dominic s’en est sorti tout seul, en restant très solide.»
Roger Federer affrontera le néophyte Matteo Berrettini, mardi, dans son deuxième match de poule. Puis viendra Novak Djokovic, jeudi. Pas encore de quoi lui inspirer une tirade. «La suite? C’est très simple: je n’ai plus le droit de perdre. Une défaite et je rentre à la maison. Mais c’est comme ça chaque semaine depuis vingt ans, on ne peut pas dire que je vais découvrir une situation nouvelle…»
Matteo Berretini? «Il n’y avait rien de pire pour lui que de commencer un Masters contre Djokovic (6-2 6-1). Mais avec un tel service, il reste forcément dangereux», a abrégé le Bâlois, avant de jeter un coup d’œil à la porte.
