Alcaraz
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Re: Alcaraz
Que penses tu des alcaputiens
tu les assimiles à des putes ou plutôt à des puces Nadoule 
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dantaface
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Re: Alcaraz
Les alacaraz vont pourrir la vie de fed4 jusqu’à sa retraite
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
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Re: Alcaraz
https://www.leparisien.fr/sports/tennis ... 37FMHE.php
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Re: Alcaraz
viewtopic.php?f=13&t=947Air a écrit : ↑mer. 16 août 2023 10:19https://www.leparisien.fr/sports/tennis ... 37FMHE.php
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Re: Alcaraz
Bravo coq alcaraz
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Re: Alcaraz
US Open : à 20 ans, Carlos Alcaraz est déjà un modèle et une inspiration
Non content de gagner presque tout le temps et presque partout, le numéro 1 mondial est déjà, à 20 ans, un influenceur voire un modèle, au sein même de sa profession.
Non content de gagner presque tout le temps et presque partout, le numéro 1 mondial est déjà, à 20 ans, un influenceur voire un modèle, au sein même de sa profession.
Spoiler
Show
Carlos Alcaraz est un phénomène. Tout le monde le sait, et sa tenue stylée et flashy sans manche, réservée rien qu'à lui pour son périple new-yorkais (une grande première, de la part de son équipementier américain), ne fait que confirmer qu'il est à part, dans un mélange entre un Harlem Globetrotters et un Marvel. Son fournisseur français de raquettes ne s'y est pas trompé, ravi de signer, juste avant le coup d'envoi de l'US Open, une prolongation de contrat de sept ans !
Et son début de parcours à Flushing Meadows pimente (un peu) ce triste début des night sessions, qu'il alimente par quelques « alcarazeries », avec ce sourire aux lèvres de celui qui va s'extraire des petits pièges d'un match avec voracité, fourberies, ou big parpaings. Lloyd Harris, sa victime du deuxième tour, avait tout saisi du personnage. « Quand je m'entraînais à l'époque avec Carlos, il avait déjà un coup droit plus puissant que le mien et je m'étais dit : "C'est problématique. Il n'a que 15 ans." J'ai quand même réussi à le battre, c'était bien. Mais je pense que depuis, c'est incroyable de voir le chemin parcouru et ce dont il est capable. Quel talent. La vitesse du coup droit était tout simplement incroyable. La lourdeur, la vitesse. C'était vraiment sa force à l'époque. »
Et ça n'a fait qu'évoluer, en mieux. Depuis quelques mois, l'Espagnol a créé une synergie avec la foule, qui n'a jamais envie de le siffler (lui), mais aussi avec ses confrères, qui l'ont accueilli avec bonhomie, malgré les douleurs à venir qu'ils pressentaient. Comme s'il fallait protéger l'élu qui savait si bien irradier. « Je dois beaucoup à "Carlitos", car il est une véritable bouffée d'air frais, disait déjà Stefanos Tsitsipas à Madrid, ce printemps. Je l'admire pour ce qu'il est, il a l'air de s'amuser, de prendre du plaisir. C'est la raison pour laquelle je suis beaucoup plus joyeux et heureux de pratiquer ce sport, grâce à lui. »
À New York, le Britannique Cameron Norrie, qui pourrait le retrouver en huitièmes de finale, avait confirmé cette puissance d'attraction, en tout début de tournoi : « Alcaraz aime toujours l'entraînement et apporte beaucoup de flair et d'enthousiasme sur le court. Nous avons fait une très bonne séance et je pense qu'il a donné un ton que j'ai pu appliquer dans mon match, qui a suivi... » L'Espagnol semble inspirer sitôt qu'on le côtoie, et, si on le consulte, prodigue des conseils sur les tactiques à suivre pendant les matches.
Durant la tournée américaine, Alexander Zverev, qui a bien du mal à se défaire de Daniil Medvedev, avait demandé quelques « tips » à Alcaraz, qui sait si bien malmener le Russe. Et ce dernier n'a pas hésité à lui donner son avis. Partageur. À 20 ans, Alcaraz pose en influenceur. « La façon dont Carlos souriait à Cincinnati, encore et encore, alors qu'il était souvent mené dans ses matches et avait eu des balles de match à défendre, ça m'a parlé, racontait Coco Gauff cette semaine. Il pouvait être en perte de vitesse, mais il souriait toujours. Je me suis dit que s'il pouvait le faire, alors qu'il est numéro 1 mondial et qu'il a toute cette pression, alors je pouvais le faire moi aussi dans des situations où, la plupart du temps, je suis outsider... »
Il est même des domaines improbables, avec des interlocuteurs qui ne s'en laissent généralement pas compter, où Alcaraz arrive à montrer le cap. C'est le magazine GQ qui a réservé cette surprise, avec une interview de Nick Kyrgios : « J'étais à Los Angeles et j'ai publié une story Instagram où je demandais si quelqu'un connaissait un bon tatoueur dans le coin, disait l'Australien. Et Carlos Alcaraz m'a répondu : "Va voir Ganga, c'est mon pote, on a grandi dans le même village." J'ai trouvé ça dingue que le meilleur joueur de tennis du monde ait grandi avec le meilleur tatoueur. Puis j'ai regardé la page de Ganga, et j'ai tout de suite compris que ce mec était sérieux. Je suis allé à son studio, et dès que je lui ai montré le dessin, il a annulé le vol qu'il devait prendre. Il m'a dit "On fait ça demain. Je m'occupe de tout." » Merci Carlos.
Et son début de parcours à Flushing Meadows pimente (un peu) ce triste début des night sessions, qu'il alimente par quelques « alcarazeries », avec ce sourire aux lèvres de celui qui va s'extraire des petits pièges d'un match avec voracité, fourberies, ou big parpaings. Lloyd Harris, sa victime du deuxième tour, avait tout saisi du personnage. « Quand je m'entraînais à l'époque avec Carlos, il avait déjà un coup droit plus puissant que le mien et je m'étais dit : "C'est problématique. Il n'a que 15 ans." J'ai quand même réussi à le battre, c'était bien. Mais je pense que depuis, c'est incroyable de voir le chemin parcouru et ce dont il est capable. Quel talent. La vitesse du coup droit était tout simplement incroyable. La lourdeur, la vitesse. C'était vraiment sa force à l'époque. »
Et ça n'a fait qu'évoluer, en mieux. Depuis quelques mois, l'Espagnol a créé une synergie avec la foule, qui n'a jamais envie de le siffler (lui), mais aussi avec ses confrères, qui l'ont accueilli avec bonhomie, malgré les douleurs à venir qu'ils pressentaient. Comme s'il fallait protéger l'élu qui savait si bien irradier. « Je dois beaucoup à "Carlitos", car il est une véritable bouffée d'air frais, disait déjà Stefanos Tsitsipas à Madrid, ce printemps. Je l'admire pour ce qu'il est, il a l'air de s'amuser, de prendre du plaisir. C'est la raison pour laquelle je suis beaucoup plus joyeux et heureux de pratiquer ce sport, grâce à lui. »
À New York, le Britannique Cameron Norrie, qui pourrait le retrouver en huitièmes de finale, avait confirmé cette puissance d'attraction, en tout début de tournoi : « Alcaraz aime toujours l'entraînement et apporte beaucoup de flair et d'enthousiasme sur le court. Nous avons fait une très bonne séance et je pense qu'il a donné un ton que j'ai pu appliquer dans mon match, qui a suivi... » L'Espagnol semble inspirer sitôt qu'on le côtoie, et, si on le consulte, prodigue des conseils sur les tactiques à suivre pendant les matches.
Durant la tournée américaine, Alexander Zverev, qui a bien du mal à se défaire de Daniil Medvedev, avait demandé quelques « tips » à Alcaraz, qui sait si bien malmener le Russe. Et ce dernier n'a pas hésité à lui donner son avis. Partageur. À 20 ans, Alcaraz pose en influenceur. « La façon dont Carlos souriait à Cincinnati, encore et encore, alors qu'il était souvent mené dans ses matches et avait eu des balles de match à défendre, ça m'a parlé, racontait Coco Gauff cette semaine. Il pouvait être en perte de vitesse, mais il souriait toujours. Je me suis dit que s'il pouvait le faire, alors qu'il est numéro 1 mondial et qu'il a toute cette pression, alors je pouvais le faire moi aussi dans des situations où, la plupart du temps, je suis outsider... »
Il est même des domaines improbables, avec des interlocuteurs qui ne s'en laissent généralement pas compter, où Alcaraz arrive à montrer le cap. C'est le magazine GQ qui a réservé cette surprise, avec une interview de Nick Kyrgios : « J'étais à Los Angeles et j'ai publié une story Instagram où je demandais si quelqu'un connaissait un bon tatoueur dans le coin, disait l'Australien. Et Carlos Alcaraz m'a répondu : "Va voir Ganga, c'est mon pote, on a grandi dans le même village." J'ai trouvé ça dingue que le meilleur joueur de tennis du monde ait grandi avec le meilleur tatoueur. Puis j'ai regardé la page de Ganga, et j'ai tout de suite compris que ce mec était sérieux. Je suis allé à son studio, et dès que je lui ai montré le dessin, il a annulé le vol qu'il devait prendre. Il m'a dit "On fait ça demain. Je m'occupe de tout." » Merci Carlos.
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Re: Alcaraz
Tu lis un "papier de l'équipe" qui commence par:
C'est pour jeunes lapins crétins ces conneries, notrollCarlos Alcaraz est un phénomène. Tout le monde le sait, et sa tenue stylée et flashy sans manche, réservée rien qu'à lui pour son périple new-yorkais
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Re: Alcaraz
Un peu décevant l heritier s il se contente de gagner un gc par annee il arrivera à la moitie des djoko/nadal
La magnanimité appelle la magnanimité, l'indifférence appelle l'indifférence, et le mépris appelle le mépris. Telle est la charte des êtres libres et, pour ma part, je n'en reconnais aucune autre
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Re: Alcaraz
Victoire importante de Daniil surtout, il sait maintenant qu'il peut le battre, et ça va encourager les autres victimes aussi 
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